Aujourd’hui, comme tous les vendredi, toujours dans le cadre de nos petits détours par le monde anglo-saxon, nous allons parler ce coup-ci d’innovation sociale. Nous avions déjà aborder ce sujet dernièrement. Voyons donc les principales idées abordées.
Ce n’est pas la première fois que je vous parle d’innovation sur ce blog, notamment à travers des communautés d’innovation. Mais en relisant l’intervention d’Amaury de Buchet à l’enteprise 2.0 summit pour l’atelier sur l’open innovation (ou je participais) je m’aperçois que bien souvent, au mieux je suis centré sur un axe (celui dont je parlais plus haut), voir j’oppose un peu différentes approches. Comme pour mon interview sur hypertextual à propos de mon livre, alors que ces approches sont complémentaires. Et pourtant ce n’est pas faute de les connaître toutes, comme quoi on est souvent focalisé sur ses préoccupations du moment.
Voici donc différentes approches toujours centrées autour de l’open innovation ou social innovation.
Comme promis la semaine dernière voici la suite du billet issu du keynote de Rawn Shah pour l’entreprise 2.0 summit de Paris de février. Après avoir vu la valeur ajoutée du collaboratif pour l’entreprise, il s’agit de voir maintenant comment aligner le collaboratif avec les différents processus métiers.
Huitième billet autour des maximes de Baltasar Gracian, jésuite vivant au XVIIe siècle, adapté au monde de l’entreprise 2.0
Généralement quand on parle de création externe à l’entreprise, de crowsourcing, on cite souvent l’exemple d’Innocentive comme exemple pour la R&D. A ce propos, je me souviens d’une conférence au Sénat, où j’étais invité, où Joel de Rosnay expliquait que des sites comme Innocentive allait se développer et mettre au chômage les cabinets de consultants en stratégie comme McKinsey et consorts. Là se sont plutôt les agences de communication traditionnelle qui vont se retrouver au chômage si on aborde la question avec le même angle de vue. Je vais donc vous parler d’un site de designers, 12designer qui m’a contacté cet été (la version française existe depuis mars), et dont il m’a semblé intéressant de vous faire partager le concept.