La semaine dernière dans mon article intitulé « Community manager : le Mandrake du web ?« , je revenais notamment dans le cadre du « cas Nestlé » sur les limites du rôle de community manager.
Heureusement pour ce métier, il n’y a pas toujours des crises de cette ampleur à gérer, mais des « grandes gueules » à gérer, ça c’est sûr.
Il m’a donc semblé utile de revenir sur les différentes figures ou raisons qui poussent les membres de votre communautés à intervenir de manière plus ou moins intempestive. Au delà du constat, deux ou trois conseils pour y répondre (même s’il y a rarement une solution miracle, et que chaque cas est souvent spécifique. Sinon un robot ferait l’affaire).