Gérer l’image de l’entreprise à l’ère du web 2.0

Une présentation du thème de la réputation de l’entreprise a été réalisé la semaine dernière. Ce billet reprend les points clefs de cette présentation et le diaporama qui y était associé.

L’image est un des facteurs déterminants du succès commercial d’une entreprise. Avec l’avènement, dans les années 2005 du web 2.0, la réputation est devenue un actif stratégique. Centré sur l’utilisateur et le collaboratif, le web 2.0 à largement fait évoluer la communication sur internet, décuplant la quantité d’information produite, mais aussi ses modes de production.

Face à l’importance du nombre de sources d’information, être visible sur la toile et de façon positive nécessite la mise en place d’une stratégie dont le critère principal est sa rapide évolutivité. L’utilisation de moteurs de recherche pour trouver de l’information sur une entreprise ou sur un marché est devenue un acte réflexe. Aussi la meilleure façon d’augmenter le trafic sur son site internet et son référencement est de recourir aux outils du web 2.0. Il faut aussi utiliser les caisses de résonance du web.

Mais au-delà de la promotion de son image sur le web, il s’agit pour l’entreprise de connaître et étendre son périmètre informationnel afin de pouvoir pleinement promouvoir son image sans interférence. Le périmètre informationnel sur le web d’une entreprise comprend les médias, les sites, ainsi que les personnes par lesquelles l’information liée à l’entreprise circule. Pour maîtriser ce périmètre, il faut mettre en place une stratégie pour prévenir d’éventuelles erreurs de communication ou attaques contre la réputation.

D’une part, occuper l’espace lié à son nom ou sa marque, d’autre part contrôler son image et sa réputation sur internet. Or cette dématérialisation des échanges a considérablement réduit les marges d’anticipation. C’est pourquoi une entreprise ne peut plus se permettre d’être passive, mais se doit d’être proactive pour devancer une « attaque » éventuelle.

Il s’agit donc pour l’entreprise de réfléchir non pas au périmètre qu’elle contrôle déjà, mais plutôt à celui qui lui reste à contrôler pour ne pas être pris au dépourvu, notamment concernant ces nouveaux médias (monde virtuel, réseaux sociaux, blogs, plateformes vidéo…) En cela l’intelligence économique est le moyen de mettre en place des outils et pratiques de veille, d’analyse en fonction des besoins et des savoirs. Voici le diaporama qui a accompagné cette présentation dont vous venez de lire la synthèse :