La semaine dernière je participais à la conférence RH 2.0 du CCMBenchmark, un bon cru, avec de nombreux retours d’expérience. Et puis c’est toujours l’occasion de revoir d’autres personnes qu’on croise moins souvent, comme Claude Super qui est un peu éloigné géographiquement, Franck La Pinta dont les diverses activités rendent moins facilement visible ou ceux qui gère de nouveaux postes comme Julien Cotte…

Si vous voulez en savoir plus, vous pourrez trouver l’ensemble des tweets ici et ici (c’est en deux parties). Mais voici ma présentation sur gestion des talents, collaboratif et RSE.

Pour résumer l’idée globbale de la présentation. Comme la rappelé lors de la conférence la DRH d’ING Direct Muriel Rocher, difficile de penser que l’entreprise ne va pas aller sur les médias sociaux ou développer du collaboratif en interne, même si certains s’obstinent à résister. LA DRH ces dernières années s’est affirmée comme business partner, pourra-t-elle devenir un network partner (slide 2) ? Mais la transformation d’une entreprise est liée à son historicité (slide 3) et bien souvent, la DRH est écartelée entre la défense de l’ancienne structure qui doit continuer à fonctionner et la promotion du fonctionnement en réseau (quand elle y croit , ce qui est loin d’être le cas partout).

Cela ne veut pas dire qu’il faut faire du passé table rase, mais cela n’empêche pas revenir aux auteurs de base comme Crozier ou Drucker et aux fondamentaux comme le triangle managérial (slide 6). Le RSE est une aide (slide 7), mais ce sont avant tout les gens et processus RH qui comptent (slide 7). Par contre, le réseau social d’entreprise peut aider le collaborateur à promouvoir ses compétences et le manager à mieux évaluer ces dernières (slides 9 et 11), et surtout cela souligne l’apparition de nouvelles compétences (slide 10).

De même, les talents sont multiples (performant, innovant, potentiel…) et ne nécessite pas un management à l’identique (slide 12) , ce qui conduit les éditeurs de RSE à s’engouffrer dans la brèche (slide 13) et surtout, cela repose la question de l’expertise (slide 14). Donc forcément cela à un impact sur l’évolution de la carrière et la mobilité des collaborateurs(slide 15), comme l’expliquait l’éditeur Electronics Art. Et bien sûr la formation à travers le social learning notamment.

Je vous laisse découvrir ma présentation :