5 impacts du social business sur votre entreprise

Aujourd’hui, comme tous les vendredi, toujours dans le cadre de nos petits détours par le monde anglo-saxon, un article d’Adi Gaskell autour des impacts du social business sur la culture des organisations.Voyons cela, même si pour ma part je demeure circonspect sur le point 1 (mais étant assez peu développé, difficile de se faire une idée) :

Traditionnellement quand on parle de culture et de social business, les discussions se sont centrées sur le type de culture nécessaire pour permettre au social business de s’épanouir. Cet article va inverser les choses et se demander quel impact le social business pourrait avoir sur la culture d’une organisation. Voici 5 façons dont le social business peut avoir un impact sur la culture de votre organisation :

1. Commentaires et évaluations :  L’évaluation des collaborateurs est une tâche routinière qui se produit une fois ou deux fois par an. Elle implique généralement un outil de type 360°. Vous pouvez aussi avoir des évaluations trimestrielles qui sont liés à vos bonus. En général, ils ont un format standard sur leur déroulement et les personnes qui y participent. En utilisant des outils collaboratifs,  cela permettra un retour quotidien dans les commentaires et permettra une approche plus méritocratique du travaille.

2. La prise de décision : Généralement, quand une décision doit être prise, elle est prise par les managers. Ils doivent possèder les connaissances et surtout les informations nécessaires pour faire le bon choix. Dans un environnement social business l’information circule librement, et donc cela permet une meilleur connaissance à la fois des faits et surtout du contexte, pour prendre une décision rapide et qualifiée.

3. Transparence : Les organisations modernes, fonctionnent en s’appuyant sur les médias sociaux, et ces informations doivent être disponibles pour ceux qui sont en première ligne pour interagir. Dans ce contexte, les managers doivent apprendre à exercer une influence autrement que dans un contexte « information = pouvoir ».

4. Interactions du personnel : Les open-spaces sont détestables, alors qu’ils sont conçus pour développer le collaboratif. En réalité, ils ne font qu’imposer des distractions à travers le bruit ambiant du bureau. Avec le social business (digital workplace) vous avez accès à un environnement contrôlé. Cela signifie que vous choisissez quand vous voulez échanger avec vos collègues, et quand vous n’avez pas envie de le faire.

5. Orientées sur les résultats : Un effet secondaire malheureux du taylorisme, c’est que de nombreux employés sont toujours jugés sur le nombre d’heures ils font, plutôt que sur la qualité de leur travail. Il en résulte une culture du présentéisme où les gens croient que le moyen d’avancer est de faire des journées de plus en plus longue. Avec une entreprise sociale permettant un environnement de travail plus « souple », puisque les managers ne peuvent pas dire combien de temps les personnes travaillent, ils doivent fonder leur évaluation uniquement sur la qualité de la production réalisée.