3 niveaux d’intégration du 2.0 dans l’organisation

Dans le cadre de mes activités professionnelles, je suis régulièrement confronté, comme certains d’entre vous, à des personnes dont le niveau de compréhension des problématiques communautaire est très variable. Depuis quelques temps, pour faire au plus simple j’explique qu’il y a 3 approches différentes, et chacune d’elles correspond à des niveaux différents de création de valeur pour l’organisation qui la met en place mais aussi pour les utilisateurs qui sont directement concernés par les dispositifs qu’ils soient en interne ou en externe. Pour simplifier, rien de mieux qu’un petit schéma puis nous irons un peu plus dans le détail…

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la suite chez Akostic

Les organisations modernes sont-elles plus zen et aptes au changement ?

Deux entreprises ayant une même activité sur un même marché en pleine transformation : l’une a fait l’objet d’acquisitions en série, d’adaptation de sa stratégie pour améliorer la compétitivité et la rendre cohérente avec celle de la maison mère, offre des salaires élevés, a un programme de fidélisation des employés ; l’autre offre des emplois moins valorisés, a des salaires très raisonnables,  a une stratégie stable (on pourrait même dire une stratégie de stabilité). On pourrait croire que la première sera celle qui motivera le plus ses employés- mais instinctivement on sent que ce n’est pas si simple : la question qui se pose immédiatement est celle de l’ambiance dans l’entreprise, et celle-ci n’est pas uniquement tributaire de la conjoncture extérieure ou des résultats financiers. De nombreux facteurs sont en jeu, et en l’occurrence dans cet exemple et avec des résultats financiers comparables, la seconde entreprise est plus zen, moins stressante pour ses employés et ses dirigeants, et offre des perspectives à moyen terme plus lisibles. La suite chez Cécile Demailly

L’entreprise 2.0 : pour les organisations d’aujourd’hui ou de demain ?

Beaucoup perçoivent l’entreprise 2.0 comme réservée à des collaborateurs familiers avec les technologies web. Certaines structures considèrent d’emblée que ce n’est pas pour elles aujourd’hui, éventuellement dans quelques années. Pourtant cette aisance avec les outils de l’Internet ne facilite que l’appropriation initiale des outils dans l’entreprise. Le développement des usages collectifs reste à faire et il fait appel à d’autres qualités. L’entreprise 2.0 tient avant tout dans la capacité de l’organisation à activer des réseaux et à les mettre au service de sa stratégie. Un mode de fonctionnement pas si étranger que ça à nos entreprises d’aujourd’hui. Sous cet angle l’entreprise 2.0 parait peut-être plus familière.

L’entreprise 2.0 est une évolution des modes d’organisation du travail

Une évolution sous la pression économique : les entreprises doivent se renouveler et s’adapter de plus en plus rapidement. Les évolutions technologiques et la compétition mondialisée peuvent remettre en question une position dominante. L’outil industriel disparu au profit des travailleurs de l’information, la structure des entreprises est désormais moins matérielle et plus humaine. Libérées de ces contraintes physiques, les organisations sont en apparence plus polymorphes. Cette nouvelle agilité demandée entraine l’ouverture d’espaces d’autonomies plus importants pour les travailleurs de l’information. La suite sur le blog d’USEO

La fiche des erreurs communes faites sur les médias sociaux

Inauguration d’une nouvelle rubrique plutôt « jardinages et cuisines » autour des médias sociaux, des technologies web et du Digital marketing avec : la fiche des erreurs communes faites sur les médias sociaux, à ne pas faire.

Médias Sociaux — 27% des TPE/PME ont un site Internet (étude Webagoo, 2010). Beaucoup d’entreprises se sont engouffrées dans l’univers des médias sociaux sans une réelle compréhension des outils et usages, sans s’interroger sur la pertinence de leur présence social media. Bien souvent, ces entreprises se sont lancées sans se demander quelles étaient les plateformes qui fonctionneraient le mieux par rapport à leurs activités et enfin, elles sont parfaitement inconscientes des dégâts potentiels que cette présence — dans le cas où elle serait mal gérée — peut avoir.

Quelles sont les plus grosses erreurs que les entreprises font sur les médias sociaux ? Éléments de réponses, dans la suite sur ithink.fr