Gouvernance et participation des collaborateurs sur les médias sociaux

Aujourd’hui, comme tous les vendredi, toujours dans le cadre de nos petits détours par le monde anglo-saxon, un article d’Amber Naslud sur la participation des collaborateurs sur les médias sociaux, thème sur laquelle j’avais fait une présentation il y a quelques temps. Voici les principales idées de cet article, qui pose de bonnes questions sur la culture de l’entreprise qui impact sa vision de la gouvernance des médias sociaux, même si je ne partage pas toute l’analyse.

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Retour sur l’e-reputation, quelques remarques

La semaine dernière j’ai participé à la demande de Text100 à une table ronde sur Construire une marque en ligne et gérer son eReputation avec Carlos Diaz le CEO de Bluekiwi, Tristan Nitot le président de Mozilla Europe et Gilles Klein journaliste (ambiance détendue et très sympa, avec un public de professionnels interactifs).

Voici ce que j’ai retenu de cette table ronde, du moins les principaux points que je n’entends ou ne lis pas tous les jours (avec en fin de billet un petit bonus video).

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Marque employeur : l’exemple d’Orange

marque_employeurLe mois dernier à l’ANVIE, s’est tenu un groupe de travail autour de la question de la marque employeur, avec notamment comme intervenant le RH 2.0 de France Telecom Orange, Ziryeb Marouf (le prochain groupe de travail aura lieu le 15 avril). Voyons donc comment Ziryeb Maroufa borde cette question.

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Marque employeur et risques psychosociaux

Ergonomie-risques-psychosociauxLe gouvernement a publié le 18 février une liste de 1500 entreprises de plus de 1000 salariés suivant leur degré d’avancement de leur politique anti-stress. La liste se divisait en 3 catégories (verte, orange, rouge) selon leur implication sur ces questions, reprennant ainsi le concept anglo-saxon du Name and Shame. Ce classement était lui même présenté de manière régionale.

Petite définition du Name and Shame : C’est une pratique visant à décourager certains types d’activité (généralement anti-sociales ou pénales) en publiant les noms des personnes impliquées. Le terme a été inventé par les journaux britanniques dans les années 1980.

Dans le cas qui nous intéresse, 294 entreprises sont dans la liste verte (des négociations syndicales ont eu lieu ou un plan d’accompagnement est en place). 489 sont listées en orange (un diagnostique est en cours, et les autres, soit 717 entreprises ne s’occupe pas de cette question ou n’ont pas répondu.

Si on regarde bien seule 20% des entreprises ont engagé une action dans ce sens (sans préjuger de la qualité du plan ou accord mis en place). Est-ce à dire que ce problème n’est pas important pour elles ?

En tout cas, en moins de 24h, les entreprises concernées par les listes oranges et rouges, sans compter les différents réseaux patronaux, ont su jouer de leurs téléphones pour faire retirer ces listes du site du ministère du Travail. Un désaccord sur la méthodologie (c’est marrant il y avait eu le même avec la Halde qui mettait aussi en cause des entreprises).

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