Une fin d’année en images sur les communautés et les réseaux sociaux

Voici le dernier billet de l’année 2008 du blog de M2IE. Après les deux derniers billets qui ont donné lieu à de nombreux commentaires et réflexions, voici pour finir plus calmement l’année, une excellente vidéo d’Alstom sur les communautés et une présentation de Martin Roulleaux Dugage sur les réseaux sociaux, qui datent du mois de décembre.

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Médias sociaux et sociologie des organisations

Suite au précédent billet sur les médias sociaux et évolution des cultures organisationnelles, la question de la sociodynamique a été abordée par Vincent (idée qu’il développe aussi ici) ou Bernard qui expliquait que « le mode de management prime sur les outils ». Dans mon cabinet de management, nous ne pouvons que partager cette analyse, mais nos références sont plutôt celle de Michel Crozier et de sa sociologie des organisations.

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Médias sociaux et évolution des cultures organisationnelles

Quand on observe l’évolution de la société et de ses modes de travail, on peut se rendre compte qu’avec la montée en puissance des médias sociaux, on est passé d’un modèle centré sur soi vers un modèle ouvert sur la collaboration et l’innovation. Ce modèle repose sur les nouveaux médias sociaux, et tend vers ce qu’on qualifie d’entreprise 2.0. Il ne s’agit pas de revenir ici sur les différentes statistiques liées à l’adoption de ces usages et technologies (dernièrement ici etici), mais plutôt de comprendre cette évolution dans le temps. Une forme de rétrospective de l’organisation 1.0 vers le 2.0.

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L’apport des réseaux sociaux pour l’accès à l’information professionnelle

Rachel Happe développe l’idée du lien entre réseau social et informations professionnelles. Voici les principales idées de sa démonstration. Les médias sociaux ont été conçus pour les travailleurs du savoir, leur donnant plus de moyens de communiquer et de travailler de façon collaborative. Toutefois, la collaboration – dans sa définition la plus traditionnelle – est trop limité pour les besoins de ces travailleurs du savoir, car elle ne suit pas l’ensemble du flux de travail, elle intervient généralement de façon discontinue tout au long du processus.

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